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très mobile ; l'air

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scène métropolitaine

Les pieds plantés écartés, square, sur le sol caoutchouté du wagon, la main clamped au poteau - une sorte de pole standing :
- Elle est peut-être gentille
- oui !
Il lance tout son corps dans. Les yeux écarquillés de earnestness et bonne urbanité.


Aujourd'hui : des photos, et une scène du métro, qui me fait venir un petit bout de poème : un poème photographique. Dans le langage, des choses que j’ai apprises par la photo, et le blog – cette légèreté du langage et du rapport d’écriture. Les phrases aux syntaxes nécessaires, aux accents et pauses et coups de corps, danse et respiration. Et la scène les scènes ; les bribes et bris, les vitesses (ce ne sont PAS des morceaux. Ni des détails).
Les anonymes, voilà, modernes. La vitesse du pronom - that shifter !

scène - scène de genre

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les visages ne sont pas les gens - pas seuls, voilà

des palais, mélangés

jardins publics

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Comme c'est rarement la meilleure photo qui se choisit. Ni la mieux équilibrée, cadrée, exposée, etc. Il y a une tout autre valeur ; ce plan tout en vitesse, qui ne se voit pas alors même qu'il s'agit de voir. It's right, it's the one. Il faut chercher avec une sorte d'aveuglement (éventuellement même, fermer l'analyse du regard), une certitude de dedans, du corps. Une écoute. C'est donc une attention? Qualité de l'attention. Savoir (qui est une expérience) ce qu'on sait ; bien vouloir le laisser monter, still small voice.

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zones

les petites actualités, piétonnes

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espace de la lecture

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Pourquoi il y a des lumières qui font suspendre l'haleine.

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géographies

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café la ville l'été

and photography for revolving lights. Prises, cent mille prises, reprises.